Bien avant Printemps, été, automne, hiver et printemps (2003) et Locataires(2004), les amateurs de cinéma déviant se souviennent avec une moite émotion leur découverte deL’Ile de Kim Ki-Duk (2000), quatrième long-métrage de ce franc tireur du cinéma sud coréen qui vient de ressortir enBlu-Raypar la grâce du précieux éditeur Spectrum Films. Un cinéma déviant avec lequel l’auteur renouera d’ailleurs en fin de carrière (Pieta– 2012 ouMoebius– 2013) avant sa disparition fin 2020.
Depuis, la consécration de Parasite en 2019 a fini de mettre le pays du matin calme au premier rang du cinéma mondial. Ceci pour les auditeurs du Masque et la Plume… Les cinéphiles un peu sérieux savent bien qu’il s’agit là d’une cinématographie palpitante et chatoyante, tant techniquement que narrativement, depuis la fin du siècle dernier et l’émergence d’une genération de cinéastes dont Kim-Ki Duk fut un contemporain, sans toutefois en être un pair, tant il subissait (et peut-être chérissait) son isolement artistique.
Autant de directions que nous développons dans ce nouveau focus. Chères auditrices et chers auditeurs cinéphiles, bonne écoute à tous !
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