Alors que pendant des années, tout le monde dans l’indie rock donnait dans le post-Velvet Underground, les syncopations furieuses, les mélodies classieuses, le minimum syndical technologique et le maximalisme à tout crin de Deerhoof est rentré dans le langage courant de l’indie rock contemporain: St. Vincent, les Flaming Lips, Tune-Yards ou les Dirty Projectors sont quelques-uns des groupes qui ont absorbé l’ADN Deerhoofien.
Deerhoof fête son 20ème anniversaire et un collier de réussites innombrables, une grosse douzaine d’albums à peu près tous encensés par la critique et des centaines, sans doute des milliers d'auditeurs autour du monde rendus extatiques par leurs concerts en forme de grand-huits, toujours différents, jamais décevants.
A la place des arrangements hyper chargés des disques précédents, La Isla Bonita s’en tient aux ostinatos monotonaux, aux syncopes façons coup du lapin. C’est un disque qui vous sert ses riffs sur un plateau. Et qui rocke.
C’est la musique de quatre musiciens qui assument enfin le legs immense qu’ils laissent au monde.
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