Quelques heures avant son concert à la Maroquinerie, on retrouve Troy Von Balthazar dans la salle parisienne, impossible de rester à l’intérieur pendant les balances d’Elias Dris alors on opte pour une session en extérieur, on se balade un peu aux alentours et on trouve une petite rue où le seul bruit qu’on entend est le chant des oiseaux. Parfait pour une session acoustique tout en délicatesse, poignante et apaisée comme l’est toujours la musique de celui qui avec Chokebore était un personnage éminemment rock’n’roll sur scène avec sa fameuse Telecaster noire. Étonnant contraste donc avec le Troy à la ville (ou plutôt à la campagne comme il nous l’expliquera avant la session) qui vous marque d’abord par sa gentillesse et son calme, qui nous interprète avec juste sa guitare acoustique deux extraits de son album It Ends Like Crazy sont assez différents des versions disque, où Troy fait un travail de recherche sonore et de déconstruction assez radical mais c’est justement aussi l’intérêt d’une session acoustique, vous faire découvrir la beauté de ces chansons différemment.
Extrait de l'album "It Ends Like Crazy" (Vivious Circle, 2019) - https://troyvonbalthazar.bandcamp.com/
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