#877 Institut
C'est notre seconde visite dans cet Institut pas comme les autres. Et c'est aussi la seconde fois que nous filmons Nina Savary qui fait désormais parti de cet Institut pas comme les autres. Tout est déjà installé dans le salon d'un appartement parisien pour une session pas vraiment acoustique. Mais nous savions que tout serait décalé, improbable et qu'il fallait être capable d'attraper au vol ce qui allait se passer, sans se poser trop de question, en intégrant même clairement le caméraman dans certains plans, en jouant avec les miroirs, les lumières, les reflets et surtout en ne se posant pas trop de questions. Juste se laisser embarquer dans un univers singulier, envoutant, riche et surtout totalement libre. Un immense merci à Institut pour leur accueil !
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#874 Bosco Rogers
C'est vrai qu'en plus de 800 sessions nous commençons à avoir fait beaucoup d'endroits très différents. Mais de mémoire de matelot cela doit être la première fois que nous filmons dans des toilettes, des W.C, des chiottes quoi ! Dans les étages d'un vieil immeuble parisien. Les locaux du label parisien des Bosco Rogers. L'idée de départ était de filmer dans un le vieil escalier de l'immeuble, mais comme les Bosco doivent brancher leurs amplis on se retrouve vite avec un problème... pas assez de cable pour envahir l'escalier de service qui se cache au milieu de l'immeuble... on se rabat donc dans les toilettes du bureau. Le duo anglais accompagnée d'une de leurs amies prend possession du lieu. Enfin de chaque centimètres carrés possible, et il ne reste que peu de possibilités pour planter la caméra. Pendant tout ce temps on croise un visage et tout le temps du tournage on se dira qu'on l'a déjà vu, que l'on connait cette femme... c'est le soir, que l'on se rendra compte que c'est Katharine Wallinger qui est venu dire bonjour à ses amis... Le groupe joue, s'amuse, c'est frais, c'est pop, c'est pétillant et cela donne envie de bouger... bon là on ne peut pas trop et on profite des miroirs, des reflets pour essayer d'avoir tout le monde... mais on s'amuse et c'est de loin le plus important. Un grand merci à Erwan
Images : Renaud de Foville
875 Alsarah & The Nubatones
C'était une journée de folie. Un marathon de sessions. Le Mama festival et donc l'occasion de filmer quatre groupes en une journée, mais se rajoute aussi une belle proposition, le genre que l'on ne refuse pas, même si, en fait, nous n'avons pas vraiment le temps. Alsarah & The Nubatones, une musique qui vient du cœur, qui vous donne le frisson et vous réchauffe l'âme. Alsarah est dans un petit appartement parisien, un salon quelconque, pas vraiment de lumière. Alsarah c'est le genre de personne qui dégage douceur et magnétisme, un mélange de charisme et de bienveillance. Le temps de discuter avec ses musiciens, le temps que tout le monde s'installe et trouve sa place pour pouvoir jouer, s'entendre et avoir le meilleur son possible pour la vidéo, on se rend compte que le salon à disparu, la lumière fade n'est plus. Dès les premières notes de la trumpette, les premières percussions, la magie du Oud, les voix envoutantes de Alsarah et de sa choriste, plus rien n'existe, plus rien d'autres que la musique, les sensations, les sentiments, les frissons et la beauté de cet instant. Un grand merci à Mounir et toute son équipe.
Images : Renaud de Foville
#872 Wellbird - Gris métallisé
Oui le casting est impressionnant. Et puis nous avons souvent croisé la route de ces quatre garçons. Pour des sessions, pour des concerts, pour prendre des bières, pour des tournées aussi. En groupe, en solo, en amis. Mais surtout en écoutant et réécoutant le premier album de Wellbird, "Menu",il paraissait plus qu'évident que l'on devait tourner une session avec eux. Pas facile de réunir les quatre amis, qui ont chacun plusieurs projets et un emploi du temps bien chargé. Mais profitant d'une journée de répétition dans un petit studio du XVIIIe arrondissement, nous rejoignons les Wellbird. Direction le toit de l'immeuble, surplombant une ruelle vivante et bruyante. Le groupe s'installe sur les tuyaux qui traversent le toit. La session commence avec l'énergie, le petit grain de folie de "Gris métallisé". Une chanson entrainant, un refrain imparable, qui donne envie de se bouger et de sourire. Que du plaisir. Changement de chanteur. Nous passons de Sammy à Nicolas. Changement d'ambiance. Le groupe se pose. Les instruments tournent. Sammy s'empare de sa scie. La mélodie s'adoucit. Les Wellbird, posés sur ce toit dans le nord de Paris, nous emmène ailleurs. Comme avec leur album, ces quatre garçons se baladent, nous baladent dans leurs univers, dans leurs mondes. Ici tout est possible, tout est ouvert. Et c'est beau ! Pour nous plus grand plaisir. Un grand merci à Virginie.
Images : Renaud de Foville
https://www.facebook.com/wellbird.group/
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