On est tous un peu aux fraises, là . Même si elles ne sont pas de saison, on les sucre à qui mieux mieux puis on les ramène sur les réseaux. Ca tourne à l’obsession nutritive, toutes ces tartes et autres quicheries virtuelles.
Confinés, plumés, désabusés, on a ravalé nos projets de voyages, n’étant plus sûr de rien. Et encore moins du pilote masqué dans un avion sans aile. Alors on avale. Sans aile, l’avion ? On prendra la cuisse !


Notre refuge, notre havre, notre oasis, on le trouve désormais in ze kitchen. La cuisine est devenue the new pièce to be, et évidemment instagrammable à mort. Nouvelles thérapies de décompression en phase d’abstinence de restos entre amis : orgie dans la farine, partie fine avec du beurre dedans et gang de poulet Bang Bang !
En plus des trois heures par jour passées à table, les 21 heures restantes nous laissent heureusement un peu de temps pour penser bouffe, parler bouffe et photographier bouffe. Voire faire quelques courses. On disserte jusqu’à plus faim sur ce qu’il a dans notre assiette, sur ce qu’il y avait la veille ou y sera le lendemain.

Et quand y en a plus, et bien y en a encore ! On investit notre dernière oseille dans une déco hyper chiadée pour upgrader le nouveau centre névralgique de notre quotidien tellement hotte. Mais avec filtres anti-gras. Parce que ho hé hein bon.
Sur Radio Rectangle, chi va piano va sano. E va lontano. On reste aux fourneaux avec des recettes et breuvages auditifs de derrière les fagots. A la carte, à l’emporté et à volonté. Parce qu’un peu d’eau à la bouche n’a jamais fait de mal à personne. Just eat it !
Photo by Tim Mossholder on Unsplash
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