Ici c’est kloug

Certaines répliques de films sont devenues cultes. Et même cucultes, à force d'être ressassées encore et encore par des lumières, des lustres plus tard, au point de pousser mes oreilles sensibles au suicide par pendaison. Sans oublier les saillies des starrekes de la téléréalité et autres tubes à buzz. Non mais allô quoi !

L’obsession des #gens sans répartie pour ces pseudo-punchlines, c’est d’un lassant ! La vie, c'est comme une boîte de chocolats périmés. On ne sait jamais sur quelle merde on va tomber. A coup sûr sur un Juste Leblanc pas drôle qui voudrait l’être, ou pire, qui pense l’être. Et le néant. Parce que oui, l’enfer c’est les autres ploucs. Tu vois, le monde se divise en deux catégories: ceux qui te trouvent magnifaïque ma chérie et ceux qui adooorent les sushis. Je hais les sushis en carton des bo-beaufs. Ici c’est kloug, voili voilou.

Mais pourquoi casseeeeer ainsi toutes les fripouilles du gimmick obsolète ? La question elle est vite répondue : tout simplement parce que je n’en peux plus des cabotins low cost et de leurs vannes éculées. Le dernier que j’ai croisé, j’ai dégusté son foie avec des fèves au beurre et un excellent chianti. Okaaaaaay ? Une étude récente a d’ailleurs prouvé que cette bouillie est exécrable pour mon transit perdu dans les traductions, et que le jour où on mettra les cons sur orbite ils n’auront pas fini de tourner. Puis si vous n’aimez pas la mer, si vous n’aimez pas la montagne, si vous n’aimez pas la ville… allez vous faire foutre ! Merki.



Gamin ! Gamin ! C'était pour rire gamin ! Tu sais, moi je ne crois pas qu'il y ait de bonne ou de mauvaise situation. D’ailleurs si tu écoutes les podcasts de Radio Rectangle, je vais te faire une offre que tu ne pourras pas refuser. Mais tu veux pas un whisky d'abord ?

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