En ces temps masqués où les vacances de février n’ont plus de carnaval que le nom, changement de scénario : profiter du soleil d’hiver pour explorer mon bioscope en mode nouvelle nouvelle vague. Moteur !
Puisque, c’est comme ça, escapade rime avec brimade et fait peser sur nos frêles épaules la lourde menace d’une prochaine contamination interplanétaire, j’ai baguenaudé, telle une Belle des Chancres, au coeur de mon microcosme urbain.
Zoom sur mon pâté de maison. Celui-ci n’est, certes, pas de campagne, mais très cinématographique. Il suffit parfois d’emprunter d’autres directions pour voir la vie, ses acteurs, sous un autre angle. Et découvrir les choses de la ville.
Glissade burlesque : gros plan sur une crotte de chien fourbe cachée sous la glace.
Badinage artistique en champ-contrechamp avec une affiche de concert trois fois remonté.
Fondu enchaîné sur une seringue figée dans un jardin public recouvert de pellicules.
Pas de travelling sur cette petite montagne de couvertures qui respire.
Cut !
Mille et un mirifiques secrets d’autant mieux gardés qu’ils sont exposés aux yeux de tous sous lumière tamisée, flou artistique. Comme autant d’indices, de défaites d’annonce, sur petits écrans étriqués.
Que se passe-t-il hors-cadre ?
Un peu d’action, de suspense, d'émotions.
Puis la caméra zoome avant. Jusqu’à mon appartement.
(Très très librement inspiré par la chanson "Ainsi soit-il" de Louis Chedid)
Claire meets James Nice at the Freakville offices to talk about his two labels and how...
Podcast mensuel reÌaliseÌ, programmeÌ et preÌsenteÌ par Benjamin...
Dans cet épisode de rentrée Soundtrack Of My Life, nous avons l’immense ...
La saga du rock belge qui se fume par les oreilles, programmée et racontée...
Dans le cadre de l'exposition "Le Grand Boom" (peintures, dessins, collages et...
On véhicule encore cette fausse idée que vivre de sa passion préserve...